Témoignage de Johanne Séguin, commis à la comptabilité, Lozeau

Publié le 1 juin 17

Une première expérience
« En 67, tout était beau », chantait Beau Dommage. C’était l’année de l’Expo 67, et c’est aussi l’année où Johanne Séguin a fait son entrée chez Lozeau. Tout en terminant un cours de secrétariat le soir, Johanne occupait pendant la journée un poste de caissière dans l’entreprise. « C’était ma première expérience dans le commerce de détail, confie-t-elle. Je ne connaissais absolument rien à la photographie. Je dis souvent à la blague que je ne faisais pas la différence entre les pellicules de films couleur et les noir et blanc! »

Une école formidable
Johanne Séguin a bénéficié des enseignements de Léo Laurent Lozeau, fondateur de Lozeau, qui a partagé avec elle ses connaissances de la photographie. Cette expertise lui a permis de grandir dans l’entreprise. Après avoir été caissière, elle a travaillé aux comptes à recevoir, aux comptes payables, au laboratoire photo, au service de la paye et a été chef de l’entrepôt. « J’ai touché à tout dans l’entreprise, explique-t-elle. Je ne suis pas allée à l’université, mais j’ai énormément appris et j’ai une belle carrière chez Lozeau. Il y a beaucoup de possibilités d’avancement et on est très chanceux de pouvoir grandir dans cette entreprise tout en apprenant. C’est une école formidable! »

Cinquante ans d’amour
En 2017, Johanne célèbre son 50e anniversaire de service chez Lozeau. Cet accomplissement a d’ailleurs été souligné lors du gala annuel de l’entreprise en mai dernier. La fille du fondateur, Lise Lozeau, a lu un mot qui a touché Johanne droit au cœur. « J’étais tellement émue et honorée qu’on souligne cet anniversaire pendant le gala, raconte-t-elle. Je n’ai jamais travaillé ailleurs, mais je suis convaincue que c’est le meilleur endroit au monde. C’est une entreprise exceptionnelle! J’ai Lozeau gravé dans mon cœur. »